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Jacques a dur à suivre et met plus de temps que nous à sortir ses Carangues, ce qui nous arrange bien Abdel et moi,sa Carangue en « laisse » permet de garder le banc sous le bateau.

 

 

 

Je commets ensuite une erreur, une Carangue  bat de l’aile en surface depuis quelques minutes et le skipper me demande avec insistance d’aller la chercher ce que je me décide à faire et par la même occasion, je perds le banc qui disparait de la zone.

Le bilan de la journée sera de cinquante Carangues et un Bara au bateau, le moral est au beau fixe.

 

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